L’OIT et l’IBGE discutent de la CPLP, des PALOP, de la lutte contre les inégalités, de l’égalité des sexes et des transitions justes

L’Institut brésilien de géographie et de statistique (IBGE) a rencontré le 22 février à Rio de Janeiro la responsable de la coopération Sud-Sud et des domaines émergents de l’Organisation internationale du commerce (OIT), Anita Amorim. La réunion avait pour objectif de faire progresser le soutien à la réunion Sud-Sud de la Communauté des langues portugaises (CPLP), le soutien à la gestion des connaissances dans les langues officielles portugaises africaines (PALOP) et le soutien aux statistiques universelles du travail et aux études sur l’égalité dans les pays du G20.

La directrice de l’IBGE, Ivone Lopes Batista, a souligné la différence entre l’Institut et les autres institutions statistiques d’Amérique latine et des pays d’Amérique latine. Ivone a souligné l’intégration de la géographie et des statistiques au Brésil depuis sa création, ce qui est bénéfique pour le pays, car en plus de présenter des statistiques, cela montre la dynamique spatiale du territoire brésilien.

La représentante de l’OIT, Anita Amorim, a souligné que « l’Organisation a déjà une longue histoire de partenariat avec l’Institut. En novembre dernier, nous avons eu une réunion avec les instituts de statistiques des pays africains lusophones et avec l’IBGE, dans le cadre d’une coopération triangulaire sud-sud très positive, qui a servi à en apprendre davantage sur les statistiques. Nous avons appris un peu plus sur le plan de travail de l’Institut et identifié des travaux dans le domaine des soins, du changement climatique au milieu d’événements majeurs tels que la réunion du G20 et la COP-30 ».

Le responsable des relations internationales de l’Institut, Roberto Sant’Anna, a souligné que « l’OIT est l’un de nos partenaires et a travaillé avec nous sur certaines activités. Le Brésil a une très grande participation à la Conférence internationale sur les statistiques du travail, la CIET, étant un centre de référence à cet égard. À partir de cette réunion, nous élaborerons un programme de coopération conjoint impliquant des activités du G20, ainsi que des PALOPS Sud-Sud ». César Marques, coordinateur adjoint de l’École nationale des sciences statistiques, a souligné l’importance de la réunion pour l’ENCE. « Des réunions comme celle-ci sont essentielles pour renforcer la formation des PALOPS, en plus de donner de la visibilité aux actions de formation que nous menons et de diffuser les recherches et études de cas que nous réalisons sur le marché du travail, le genre et les questions environnementales », a expliqué le coordinateur adjoint de l’École nationale des sciences statistiques.